Fermenteurs ⇒ Fermentasaurus fermenteur conique en PET

[binouse93]

Je laisse 1 semaine en secondaire et les 5 jours de dry-hopping.

Par ma part, j’utilise ensuite une Beergun pour mettre en bouteille.

Tu devrais te servir de cylindre de Sodastream, taille parfaite pour mettre dans le frigo. Perso j’en ai acheté 2 (toujours un de backup au congel) et après achète un cylindre de 10 Kg de CO2 chez Metro. La consigne est cher plus de 70 euros, mais ensuite tu paye les 10 Kg pour 20 euros (incomparable avec les 13 euros de sodastream pour 700 g !)


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[neo64]

Encore merci ! C'est exactement le processus que je veux mettre en place et direct avec une bouteille de 10kg.

Dernière question ton beergun tu l'as pris où ? Sur Aliexpress ? Dommage que t'ai pas un journal de brassage

--- Note ---

[binouse93]

On pas de journal désolé juste au feeling !

Oui le beergun viens d’aliexpress (comme tout le reste d’ailleurs)


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[neo64]

Ok, encore merci pour toutes ces infos !

--- Note ---

[Kannsen]

Salut les gars, à mon tour je commence à sérieusement songer à acheter un fermzilla.

Par contre je comprends bien le principe de fermentation sous CO2 mais ça me paraît encore un peu technique.

Je brasse principalement des IPA et si je m'y met ça sera avec CO2, frigo régulé et beergun !

Quelqu'un a déjà fait une ipa et pourrait me détailler les étapes pression, nombre de jours, température ? Pour le début de fermentation, fin de fermentation, cols crash et dry hop.

J'en demande beaucoup mais ça m'éclairer sur pas mal...

J'ai aussi vu pas mal de vidéos mais j'en ai pas trouvé avec le processus complet. Si vous en avez une sous le coude, même en anglais je prends

--- Note ---

C'est un peu hors sujet mais je me permet de rebondir sur le beergun. J'ai un laststraw. Je pense que technologiquement c'est très similaire. Et je n'ai pas réussi à mettre en bouteille même avec une mise à froid (frigo et fût keg). Est-ce que vous passez par un congélateur pour une mise à froid ? Je n'ai pu mettre en bouteille qu'avec le "LAST STRAW COUNTERPRESSURE FILLER" (https://www.saveur-biere.com/fr/accesso ... ousse.html) et il n'existe pas à ma connaissance de outil similaire pour le beergun. C'est plutôt pas mal mais lorsque j'enlève le "bouchon" un peu de bière gicle et je fini par avoir pas mal de bière sur moi. L'embouteillage deviens trop long. Donc pour le moment je ne fais plus de mise en bouteille sinon avec une refermentation (donc resucrage). Ou alors, depuis le fût que très occasionnellement.

Pour la mise en bouteille je ne comprends pas l'interêt du beergun face à la remplisseuse contre pression de type https://www.rolling-beers.fr/fr/remplis ... tionnement. J'utilise ça depuis plusieurs années, ça coute rien et ça peut même être fait maison. Et niveau remplissage c'est le top pour peu qu'on ai bien compris comment s'en servir et qu'on applique 1 ou 2 trucs essentiels :

- Déjà régler la pression correctement au moment d'embouteiller: si ton fermenteur est à 1,2 bar à l'équilibre (cad bière déjà carbonaté à 1,2 bar, en gros tu ne pousses plus de CO2 dedans), tu règles ton mano CO2 entre 1,10 et 1,20 bar au moment d'embouteiller. En gros la pression, ce n'est pas une valeur fixe comme j'ai pu le lire quand je cherchais des tutos et comme j'ai pu faire l'erreur de l'appliquer au début. Si tu ne mets pas assez de pression (genre 0,8 bar alors que t'es à 1,2 bar dans ton fermenteur, t'auras de la mousse dans la bouteille, dans les tuyaux, ça va être pénible...).
- DECOMPRESSER AVANT DE DESENGAGER LA REMPLISSEUSE. Une fois la bouteille remplie il est important de décompresser par la vanne de purge avant de retirer la remplisseuse de la bouteille. En faisant ça, vous supprimez tout risque de "geyser", et toute course à l'encapsulage. Donc une fois la bouteille remplie à raz-bord, on ferme l'arrivée de liquide d'abord, on ouvre en grand la vanne de purge (la mousse provoque plus de pertes de charge donc ouvrez bien en grand), puis on retire la remplisseuse (ordre très important).

En suivant ces 2 principes, je n'ai aucun problème à l'embouteillage, pas de prise de tete avec la température des bouteilles ou autre trucs chelou et surtout, je peux ouvrir le débit pour pas passer 3 minutes à remplir une bouteille. J'ai quelques millimètres de mousse sans importance au remplissage, qui sont purgés une fois la bouteille pleine. J'embouteille à 20 °C ambiant de la bière à 4°C carbonatée et j'ouvre des bouteilles 6 mois plus tard parfaitement carbonatées.

En espérant que ça en aide certains qui galèrent avec ce genre d'outils.

[neo64]

Merci pour ce retour, j'en suis pas encore là mais effectivement je vais peser les pours et les contre de l'embouteillage à contre pression qui le semblait plus complexe et plus technique. Merci!

--- Note ---

[binouse93]

Salut les gars, à mon tour je commence à sérieusement songer à acheter un fermzilla.

Par contre je comprends bien le principe de fermentation sous CO2 mais ça me paraît encore un peu technique.

Je brasse principalement des IPA et si je m'y met ça sera avec CO2, frigo régulé et beergun !

Quelqu'un a déjà fait une ipa et pourrait me détailler les étapes pression, nombre de jours, température ? Pour le début de fermentation, fin de fermentation, cols crash et dry hop.

J'en demande beaucoup mais ça m'éclairer sur pas mal...

J'ai aussi vu pas mal de vidéos mais j'en ai pas trouvé avec le processus complet. Si vous en avez une sous le coude, même en anglais je prends

--- Note ---

C'est un peu hors sujet mais je me permet de rebondir sur le beergun. J'ai un laststraw. Je pense que technologiquement c'est très similaire. Et je n'ai pas réussi à mettre en bouteille même avec une mise à froid (frigo et fût keg). Est-ce que vous passez par un congélateur pour une mise à froid ? Je n'ai pu mettre en bouteille qu'avec le "LAST STRAW COUNTERPRESSURE FILLER" (https://www.saveur-biere.com/fr/accesso ... ousse.html) et il n'existe pas à ma connaissance de outil similaire pour le beergun. C'est plutôt pas mal mais lorsque j'enlève le "bouchon" un peu de bière gicle et je fini par avoir pas mal de bière sur moi. L'embouteillage deviens trop long. Donc pour le moment je ne fais plus de mise en bouteille sinon avec une refermentation (donc resucrage). Ou alors, depuis le fût que très occasionnellement.

Pour la mise en bouteille je ne comprends pas l'interêt du beergun face à la remplisseuse contre pression de type https://www.rolling-beers.fr/fr/remplis ... tionnement. J'utilise ça depuis plusieurs années, ça coute rien et ça peut même être fait maison. Et niveau remplissage c'est le top pour peu qu'on ai bien compris comment s'en servir et qu'on applique 1 ou 2 trucs essentiels :

- Déjà régler la pression correctement au moment d'embouteiller: si ton fermenteur est à 1,2 bar à l'équilibre (cad bière déjà carbonaté à 1,2 bar, en gros tu ne pousses plus de CO2 dedans), tu règles ton mano CO2 entre 1,10 et 1,20 bar au moment d'embouteiller. En gros la pression, ce n'est pas une valeur fixe comme j'ai pu le lire quand je cherchais des tutos et comme j'ai pu faire l'erreur de l'appliquer au début. Si tu ne mets pas assez de pression (genre 0,8 bar alors que t'es à 1,2 bar dans ton fermenteur, t'auras de la mousse dans la bouteille, dans les tuyaux, ça va être pénible...).
- DECOMPRESSER AVANT DE DESENGAGER LA REMPLISSEUSE. Une fois la bouteille remplie il est important de décompresser par la vanne de purge avant de retirer la remplisseuse de la bouteille. En faisant ça, vous supprimez tout risque de "geyser", et toute course à l'encapsulage. Donc une fois la bouteille remplie à raz-bord, on ferme l'arrivée de liquide d'abord, on ouvre en grand la vanne de purge (la mousse provoque plus de pertes de charge donc ouvrez bien en grand), puis on retire la remplisseuse (ordre très important).

En suivant ces 2 principes, je n'ai aucun problème à l'embouteillage, pas de prise de tete avec la température des bouteilles ou autre trucs chelou et surtout, je peux ouvrir le débit pour pas passer 3 minutes à remplir une bouteille. J'ai quelques millimètres de mousse sans importance au remplissage, qui sont purgés une fois la bouteille pleine. J'embouteille à 20 °C ambiant de la bière à 4°C carbonatée et j'ouvre des bouteilles 6 mois plus tard parfaitement carbonatées.

En espérant que ça en aide certains qui galèrent avec ce genre d'outils.

Hello bah tu sais je vais exactement la même chose au beergun !

Effectivement le débit est peut être moindre , je dois mettre 30 secondes pour une bouteille, mais bon c’est pas la mort !


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[Toninus]

J'ai acheté un Fermentasaurus pendant des promos. C'est le modèle basique "snub nose", sans collecteur et vanne en bas, et avec juste les deux raccords sur le couvercle.
J'ai aussi un beer gun (acheté il y a quelques temps sur un coup de tête en promo alors que je n'y connaissais encore rien), et une bouteille de CO2 à demi remplie récupérée par une connaissance (c'est bien c'était gratuit). Et aussi un frigo assez grand dédié aux cold crashs.


Ma question est : Puis je faire une bière de A à Z dans ce fermenteur ? Je pense que oui mais j'aimerais confirmation, notamment vis à vis de ces quelques points :

- Pour la fermentation, vu qu'il n'y a pas d'emplacement pour barboteur, je peux faire barboter le tuyau gaz dans un récipient d'eau. J'envisage également l'achat d'une vanne de pression réglable (spunding valve, il y en a plein chez les chinois mais bizarrement je n'en trouve pas référencées sur les sites de matériel de brassage habituels). Dans ce cas sur quelle pression la régler ?
- Pour la suite, à quel moment faire le dryhop (pellets en vrac, ils tomberont au fond) ? A quel moment mettre au frigo ? Quand raccorder la bouteille de CO2 et monter en pression ?
- A quelle pression monter pour la carbo forcée avant embouteillage ? Le fermenteur est indiqué pour 2,4 bars maxi. Est il possible d'utiliser la valve mentionnée plus haut pour maintenir la pression dans le fermenteur à la pression de carbo forcée, quitte à la ré-ajuster chaque jour ? Ceci pour éviter de devoir mettre ma grosse bouteille de CO2 dans le frigo ou d'y faire un trou pour faire passer un tuyau ?


PS : on est d'accord que toutes les pressions sont en relatif et non en absolu ? donc que si je veux fermenter à pression atmosphérique je règle la vanne sur zéro et pas sur 1 ? Et surtout j'espère que c'est aussi le cas pour l'indication sur le fermenteur...

[Kannsen]

- Pour la fermentation, vu qu'il n'y a pas d'emplacement pour barboteur, je peux faire barboter le tuyau gaz dans un récipient d'eau. J'envisage également l'achat d'une vanne de pression réglable (spunding valve, il y en a plein chez les chinois mais bizarrement je n'en trouve pas référencées sur les sites de matériel de brassage habituels). Dans ce cas sur quelle pression la régler ?

Il te faut soit une spunding valve (que tu ouvres en grand si tu veux pression atmo), soit prendre un chapeau/couvercle/bouchon (lead en anglais) version fermentation atmo (il est vendu en accessoire normalement).
Pour la pression, c'est suivant si tu veux des esters ou pas déjà, et suivant ce que ta levure peut supporter. Test 10 puis 15 PSI, et monte si tu voit que ca marche bien. Plus tu montras la pression, moins t'auras d'esters produites par tes levures (bien pour les lagers, moins biens pour une abbaye par exemple)

- Pour la suite, à quel moment faire le dryhop (pellets en vrac, ils tomberont au fond) ? A quel moment mettre au frigo ? Quand raccorder la bouteille de CO2 et monter en pression ?

3 methodes :
. Acheter un second snub nose et faire du transfert sous pression de CO2 d'un à l'autre (ca marche très bien, c'est ce que je fait perso. Faut bien purger l'O2 par contre, tuyaux et fermenteurs compris, et avoir une spunding valve qui dépressurise en continu le fermenteur que tu remplis).
. Ou tester le coup du sac de houblon avec un aimant dedans pour pouvoir le ressortir à la fin de ton DH (style aimant pour nettoyer les vitres des aquarium par exemple).
. Sinon tu peux timer ton DH pour qu'il soit fini le jour de l'embouteillage (si tu te sers pas de ton fermenteur comme d'un keg pour servir à la pression par ex.)

Pour les pellets qui tombent ou pas au fond, tout dépendra du moment ou tu fait ton DH. Pendant la phase d'activité ou pas. Résultats sur le gout différent (biotransformation, ou pas, etc...).

Pour le moment de mettre au frigo, tout dépendra de ta T° de DH également. Il y a un grand débat, personne ne fait pareil. A toi de voir.
Pareil pour le raccordement CO2, tout est un peu lié. Sache que ta bière ne saturera pas si la T° n'est pas assez basse.
Je te déconseille juste de laisser ton houblon plus de 48h d'affilé. Tu peux le renouveler si tu veux, mais ne pas le laisser plus de 48h à chaque fois. Sauf si tu aimes les gouts herbeux...
Donc à partir de là, à toi de t'organiser en fonction de ton DH, de ton cold crash et de ta T° de carbonatation.

- A quelle pression monter pour la carbo forcée avant embouteillage ? Le fermenteur est indiqué pour 2,4 bars maxi. Est il possible d'utiliser la valve mentionnée plus haut pour maintenir la pression dans le fermenteur à la pression de carbo forcée, quitte à la ré-ajuster chaque jour ? Ceci pour éviter de devoir mettre ma grosse bouteille de CO2 dans le frigo ou d'y faire un trou pour faire passer un tuyau ?

La pression que t'auras eu pendant la fermentation ne sera surement pas suffisante pour finir, donc bouteille CO2 à brancher. Et certains styles n'aiment pas la fermentation sous pression comme dit plus haut.
La carbo forcée est à regler suivant des abaques qui te filent la pression de saturation en fonction de la T° ( https://www.kegerators.com/carbonation-table/ ). Tu peux monter un peu plus pendant quelques jours, sinon ca peut être long si tu mets pile poile la valeur désirée que te file l'abaque. Tu peux monter la pression à 1,5/2b pendant 2 ou 3 jours puis baisser à la pression désirée pour gagner un peu de temps. Et par la suite tu peux débrancher la bouteille, si ton mano se maintiens à la pression de saturation, c'est que normalement la biere est carbo.
Vas-y doucement au début, le temps de te faire la main. C'est chiant si tu carbonates trop...
Je te conseille de laisser la bouteille branchée au moins les premiers jours du processus, car la bière va absorber et la pression va baisser, donc tu vas perdre du temps.
Et oui, si t'as une grosse bouteille, perce un trou dans ton frigo. Pour ce faire, fout le à fond en froid, attends un peu qu'il chauffe coté extérieur, et pendant qu'il tourne, touches ses parois latérales. Normalement si c'est un récent, le condenseurs est à l'intérieur de celles-ci. Et normalement tu devrais sentir que le bas de ces parois est plus froid : donc pas de condenseur à ce niveau. Tu pourras percer par étape pour sonder si y a un tuyaux dans la mousse de polyurethane si t'es pas sûr de toi (en gros virer uniquement la couche plastique à l'intérieur a la perceuse puis gratter l'isolant au tournevis pour vraiment t'assurer que tu n'as pas de tuyaux, et finir à la perceuse la derniere couche métallique extérieure), mais normalement ca devrait pas poser de pb.
Une fois que t'as fait ton trou tu passe un bout de tuyaux souple pour faire un fourreau pour pas que ton tuyau de gaz soit coupé par le métal du frigo. Pi voila en gros. Je te conseille des tuyaux et raccords john Guest, c'est bien pratique.

PS : on est d'accord que toutes les pressions sont en relatif et non en absolu ? donc que si je veux fermenter à pression atmosphérique je règle la vanne sur zéro et pas sur 1 ? Et surtout j'espère que c'est aussi le cas pour l'indication sur le fermenteur...

Heu... Tu vas bien le voir si ton fermenteur est dur, c'est qu'il est pressurisé, donc tu ouvriras la spunding vanne en conséquent. Te poses pas trop de question, tu vas devoir improviser de toute. Ha oui, je pense que tu l'as compris, mais tu vas avoir besoin d'un manomètre pour mettre en amont de la spunding valve, sinon tu vas te faire chier.
Bon courage !

[Toninus]

Merci pour toutes ces réponses ! L'objectif est d'utiliser ce fermenteur pour les bières houblonnées. Pour les autres styles, je me débrouille assez bien avec des fermenteurs et dame-jeannes classiques.
Je ne suis pas non plus partisan du double dryhop, ce qui simplifie un peu les opérations. Sur ma black IPA par exemple j'ai mis des pellets en vrac une fois la fermentation finie (3 semaines), j'ai laissé un jour à température ambiante puis fini le dryhop au frigo pendant 5 jours de cold crash. Je comptais faire de même avec le fermentasaurus, en espérant que la durée soit suffisante pour faire la carbo forcée pendant la même période.

Concernant mon frigo, c'est un vieux modèle que j'ai récupéré sur LBC pour 20€, donc pas trop de remords à son sujet. Mais j'ai quand même envie d'essayer en utilisant la valve et remettant la pression juste matin et soir. Quitte à pressuriser un peu plus haut au début comme tu le dis. Et à dépressuriser avec la valve si je suis trop haut à la fin.

Quand tu dis qu'il faut un mano avant la valve, c'est parce que l’aiguille de celle-ci n'indique que son réglage et pas la valeur de pression ? Je pensais bêtement que ça faisait les deux...
Bon ben je ferais sans pour mon premier essai vu que j'ai une levure de NEIPA bientôt périmée au frigo...
J'ai commandé une valve qui ressemble à ça :

EDIT : je viens de regarder l'abaque, à 4°C la pression recommandée est seulement de 10 PSI (pour être dans la zone verte) ? J'avais lu sur ce même sujet une pression recommandée de 1,6 bars soit quasiment un bar de plus.
D'où mon interrogation concernant les valeurs de pression absolues ou non. Parce que si foirer une bière ne me dérange pas, faire exploser le fermenteur est un peu plus problématique... On est bien d'accord que la valeur à ne pas dépasser sur le mano ou la valve est 1,4 bars et pas 2,4 bars ?