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Re: embouteillage contre pression (en anglais)
je fermente en fus,transfere en keg et carbonate.
je contrôle la température du frigo,la pression d'injection du co2 et la duré de mise sous pression.
j'embouteille uniquement en contre pression depuis les kegs.
j'injecte du co2 dans la bouteille 5 a 10 sec pour chassé l'air puis je remplis.
je garde mes bouteille a 15 °C (cave), et garde mes bouteille plus de 6 mois sans problème.
embouteillé en contre pression est tout a fais faisable et efficace pour un brasseur amateur. Et je n'ai jamais perçu de faux gout dans mes bières.
je contrôle la température du frigo,la pression d'injection du co2 et la duré de mise sous pression.
j'embouteille uniquement en contre pression depuis les kegs.
j'injecte du co2 dans la bouteille 5 a 10 sec pour chassé l'air puis je remplis.
je garde mes bouteille a 15 °C (cave), et garde mes bouteille plus de 6 mois sans problème.
embouteillé en contre pression est tout a fais faisable et efficace pour un brasseur amateur. Et je n'ai jamais perçu de faux gout dans mes bières.
- one-r
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Re: embouteillage contre pression (en anglais)
Salut,
je remonte ce vieux fil pour obtenir des retours d'expérience sur le mise ne bouteille à contre-pression aussi appelé à saturation de co2. Est-ce que vous avez comparé le rendu de vos brassin avec un sucrage en bouteille?
Est-ce que c'est le process ultime/alternative au Keg ou Canettes qui permet de mettre en bouteille des brassins fragiles, je pense notamment aux ipa, neipa. Est-ce que ca fait passer un réel gap ou pas?
je remonte ce vieux fil pour obtenir des retours d'expérience sur le mise ne bouteille à contre-pression aussi appelé à saturation de co2. Est-ce que vous avez comparé le rendu de vos brassin avec un sucrage en bouteille?
Est-ce que c'est le process ultime/alternative au Keg ou Canettes qui permet de mettre en bouteille des brassins fragiles, je pense notamment aux ipa, neipa. Est-ce que ca fait passer un réel gap ou pas?
- jmc34
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Re: embouteillage contre pression (en anglais)
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Jean-Michel
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embouteillage contre pression (en anglais)
Pour faire les deux depuis longtemps (et encore aujourd’hui) :
J’ai pas vu de différence flagrante d’oxydation (mais de base mes NEIPA ont été embouteillées contre pression ou beergun.
Au niveau bulle, j’ai toujours eu des différences (extrêmement légères) et malgré que maintenant je vérifie tout au carbodoseur. Celles embouteillées contre pression ont des bulles plus fines (peut-être expliqué par une légère perte de carbo ou par des petites différences des tables et abaques de mesure de resucrage).
L’avantage de la contre pression c’est que c’est consommable direct et sans dépôt au fond.
Le désavantage de la contre pression (en amateur) c’est que c’est beaucoup plus fastidieux de remplir ses bouteilles et demande bien plus de matos.
Bref amha c’est bien pour les adeptes des NEIPAs ou pour faire quelques bouteilles à partir d’un keg. La refermentation c’est très bien aussi.
Epi, d’un avis bien tranché...
J’ai pas vu de différence flagrante d’oxydation (mais de base mes NEIPA ont été embouteillées contre pression ou beergun.
Au niveau bulle, j’ai toujours eu des différences (extrêmement légères) et malgré que maintenant je vérifie tout au carbodoseur. Celles embouteillées contre pression ont des bulles plus fines (peut-être expliqué par une légère perte de carbo ou par des petites différences des tables et abaques de mesure de resucrage).
L’avantage de la contre pression c’est que c’est consommable direct et sans dépôt au fond.
Le désavantage de la contre pression (en amateur) c’est que c’est beaucoup plus fastidieux de remplir ses bouteilles et demande bien plus de matos.
Bref amha c’est bien pour les adeptes des NEIPAs ou pour faire quelques bouteilles à partir d’un keg. La refermentation c’est très bien aussi.
Epi, d’un avis bien tranché...
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Re: embouteillage contre pression (en anglais)
J'hésitais entre contre pression et beergun et j'ai choisi le beergun pour le côté pratique, tu n'as besoin que d'une main pour gérer c02 et bière.
J'ai pas encore assez de pratique dessus mais l'embouteillage est assez long, je maîtrise pas encore totalement la bête et il y a sûrement des inconvénients que je n'ai pas encore remarqué.
Effectivement ça coûte un bras mais ça te fait gagner du temps (la refermentation) et de la qualité. Surtout pour les neipa, ipa & autres, tu les bois a leur maximum de "fraîcheur".
Epidemaiis, tu as quoi comme carbodoseur ?
J'ai pas encore assez de pratique dessus mais l'embouteillage est assez long, je maîtrise pas encore totalement la bête et il y a sûrement des inconvénients que je n'ai pas encore remarqué.
Effectivement ça coûte un bras mais ça te fait gagner du temps (la refermentation) et de la qualité. Surtout pour les neipa, ipa & autres, tu les bois a leur maximum de "fraîcheur".
Epidemaiis, tu as quoi comme carbodoseur ?
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Re: embouteillage contre pression (en anglais)
Epidmais, noar78 est ce que dans votre expérience, ça empêche / ralenti vraiment l’oxydation?
Sur mes neipa et ipa avec gros houblonnage à froid ou wp, j’ai vraiment de grosses évolutions de couleur et de goût (sans aller jusqu’au carton bouilli). Ça commence des le début et ça évolue sur le 6 mois (ou un peu plus) qu’il me faut pour écouler un brassin.
Je pense que si on torche le brassin en un mois, ça fait peut-être pas une grande différence.
C’est sur que l’embouteillage doit être plus lourd.
Par contre, je suis qd même un chouïa plus sceptique sur le beergun (ou copie).
C’est pas vraiment de la contre pression.
Comment vous gérez la sortie de la tige de la bouteille?
Intuitivement on fait rerentrer de l’air à la place du volume de la tige.
Aussi, je suppose que vous carbonatez votre bière en keg au frigo le plus froid possible, mais vous refroidissez aussi les bouteilles?
Comment vous gérez la désinfection des bouteilles?
Merci de partager votre expérience.
Sur mes neipa et ipa avec gros houblonnage à froid ou wp, j’ai vraiment de grosses évolutions de couleur et de goût (sans aller jusqu’au carton bouilli). Ça commence des le début et ça évolue sur le 6 mois (ou un peu plus) qu’il me faut pour écouler un brassin.
Je pense que si on torche le brassin en un mois, ça fait peut-être pas une grande différence.
C’est sur que l’embouteillage doit être plus lourd.
Par contre, je suis qd même un chouïa plus sceptique sur le beergun (ou copie).
C’est pas vraiment de la contre pression.
Comment vous gérez la sortie de la tige de la bouteille?
Intuitivement on fait rerentrer de l’air à la place du volume de la tige.
Aussi, je suppose que vous carbonatez votre bière en keg au frigo le plus froid possible, mais vous refroidissez aussi les bouteilles?
Comment vous gérez la désinfection des bouteilles?
Merci de partager votre expérience.
Jean-Michel
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Re: embouteillage contre pression (en anglais)
J'ai pas encore assez de recul dessus mais je me retrouvais comme toi, avec des bières houblonnées qui évoluaient beaucoup trop vite et pas dans le bon sens .. C'est ce qui m'a motivé.
La dernière en bouteille, une IPA DDH, n'a toujours pas bougée, ça me conforte dans l'idée que la bière est mieux préservée. A voir si c'est un coup de chance ou si ça se confirme par la suite.
Oui, le beergun n'est pas un embouteillage contre pression mais ça te permet quand même d'être en permanence sous CO2.
Pour la sortie de la tige, vu que ca fait toujours un peu de mousse, pas de soucis, tu capsules sur la mousse et t'es sûr qu'il n'y a pas d'oxygène. Ou alors, parano extrême, tu peux remettre un coup de CO2 sur le headspace mais à mon avis c'est too much.
Vu que je l'ai depuis peu et que c'est l'hiver, c'est parfait pour les températures. Il faut effectivement avoir bouteilles et bière très froides. Le dernier embouteillage, il faisait 3°dans mon local donc parfait. L'été ça risque d'être moins drôle...
La dernière en bouteille, une IPA DDH, n'a toujours pas bougée, ça me conforte dans l'idée que la bière est mieux préservée. A voir si c'est un coup de chance ou si ça se confirme par la suite.
Oui, le beergun n'est pas un embouteillage contre pression mais ça te permet quand même d'être en permanence sous CO2.
Pour la sortie de la tige, vu que ca fait toujours un peu de mousse, pas de soucis, tu capsules sur la mousse et t'es sûr qu'il n'y a pas d'oxygène. Ou alors, parano extrême, tu peux remettre un coup de CO2 sur le headspace mais à mon avis c'est too much.
Vu que je l'ai depuis peu et que c'est l'hiver, c'est parfait pour les températures. Il faut effectivement avoir bouteilles et bière très froides. Le dernier embouteillage, il faisait 3°dans mon local donc parfait. L'été ça risque d'être moins drôle...
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embouteillage contre pression (en anglais)
Le Beergun c’est pas de la contre pression effectivement. Mais comme si.
Il faut que tout soit froid (bières + bouteilles), il y a de la perte par la mousse (parfois beaucoup) on mets de la bière partout... C’est plus propre avec une tige contre pression.
Mais le Beergun est plus facile d’utilisation et pas forcément plus rapide.
Et j’ai jamais réussi à embouteiller des bières à plus de 4,5g/l de CO2 (2,3vol).
En pro j’ai un petit carbodoseur Sovitec pour mesurer la carbonatation résiduelle de la fermentation (atmosphérique).
https://www.lasovitec.fr/Mobile/carbodo ... 2x26634802
Pour la consistance du resucrage.
Et pour la carbonatation sous pression j’ai un appareil Anglais qui me permet d’avoir la carbonatation du liquide rapidement directement sur le fermenteur.
En amateur c’est plus facile, il suffit d’agiter le keg et de lire la pression d’équilibre et la température (350€ en moins cher).
J’ai pas fait énormément de NEIPA donc difficile à dire la différence entre resucrage et embouteillage bière déjà carbonatée.
Une chose intéressante remarquée : sur un même brassin (en amateur embouteillage Beergun) certaines étaient oxydée (peut-être oublié la purge), d’autres se sont conservées longtemps. L’oxydation n’a pas eu d’impact gustatif mais couleur boueuse. Cette couleur a disparu après 2 mois au frigo, le trouble couleur boue avait sédimenté.
Il faut que tout soit froid (bières + bouteilles), il y a de la perte par la mousse (parfois beaucoup) on mets de la bière partout... C’est plus propre avec une tige contre pression.
Mais le Beergun est plus facile d’utilisation et pas forcément plus rapide.
Et j’ai jamais réussi à embouteiller des bières à plus de 4,5g/l de CO2 (2,3vol).
En pro j’ai un petit carbodoseur Sovitec pour mesurer la carbonatation résiduelle de la fermentation (atmosphérique).
https://www.lasovitec.fr/Mobile/carbodo ... 2x26634802
Pour la consistance du resucrage.
Et pour la carbonatation sous pression j’ai un appareil Anglais qui me permet d’avoir la carbonatation du liquide rapidement directement sur le fermenteur.
En amateur c’est plus facile, il suffit d’agiter le keg et de lire la pression d’équilibre et la température (350€ en moins cher).
J’ai pas fait énormément de NEIPA donc difficile à dire la différence entre resucrage et embouteillage bière déjà carbonatée.
Une chose intéressante remarquée : sur un même brassin (en amateur embouteillage Beergun) certaines étaient oxydée (peut-être oublié la purge), d’autres se sont conservées longtemps. L’oxydation n’a pas eu d’impact gustatif mais couleur boueuse. Cette couleur a disparu après 2 mois au frigo, le trouble couleur boue avait sédimenté.
Dernière modification par Epidemaiis le 31 janv. 2020 11:15, modifié 1 fois.
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Re: embouteillage contre pression (en anglais)
Ah oui je me disais bien que ça n'existait pas en amateur ce matos.
Et oui apparemment y'a une certaine carbo au dessus de laquelle tu peux plus te servir du beergun sinon ça fini en soirée mousse mais 2.3vol me paraît peu, je pense qu'il y a moyen de pousser plus.
Et oui apparemment y'a une certaine carbo au dessus de laquelle tu peux plus te servir du beergun sinon ça fini en soirée mousse mais 2.3vol me paraît peu, je pense qu'il y a moyen de pousser plus.
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Re: embouteillage contre pression (en anglais)
Oui bien sûr on peut pousser plus dans de bonnes conditions. Ça dépends aussi des pertes en mousse que l’on tolère. Jusqu’à 2.3vol tout va bien.Noar78 a écrit :Ah oui je me disais bien que ça n'existait pas en amateur ce matos.
Et oui apparemment y'a une certaine carbo au dessus de laquelle tu peux plus te servir du beergun sinon ça fini en soirée mousse mais 2.3vol me paraît peu, je pense qu'il y a moyen de pousser plus.
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